Sindaboy éditions, 292 pages.
"Jusqu’à ce jour, j’avais une idée assez
précise de ce que pouvait être le bonheur : un appart dans un quartier
chic, des toiles vendues à prix d’or avant même d'avoir été peintes, et
Mélodie... Mélodie, le modèle que je rêvais depuis toujours de serrer
dans mes bras, et qui venait de me rouler la pelle de ma vie…
Ouais, c’était sûrement ça, le bonheur.
Y avait bien cette « Ombre » au tableau, celle qui avait entrepris de nettoyer la ville de ses clochards d’origine maghrébine, mais c’était tellement loin d’ici, dans les rues sombres…
Ouais, c’était sûrement ça, le bonheur.
Y avait bien cette « Ombre » au tableau, celle qui avait entrepris de nettoyer la ville de ses clochards d’origine maghrébine, mais c’était tellement loin d’ici, dans les rues sombres…
Et puis, ce matin-là, en rentrant, j’ai trouvé cet attroupement devant
mon immeuble, et tous ces flics chez moi, à l’étage… C’est là que le
cauchemar a commencé, et que les souvenirs de ma vie d’avant ont refait
surface.
Et si l’assassin, c’était tout simplement moi, David Huxley…"
Et si l’assassin, c’était tout simplement moi, David Huxley…"
Mon avis : "Ils sont rares et même très rares les livres que j'abandonne... Et celui-ci en fait partie. Je n'ai pas accroché à l'intrigue, au personnage - trop centré sur lui-même à mon humble avis -, à l'ambiance ou plutôt au manque d'ambiance de ce polar qui ne m'a pas du tout convaincu et embarqué. Désolée M. Audebert..."
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire