samedi 28 septembre 2013

On my wishlist #22

Sur une idée de Book Chick City, reprise par A l’abordage de la culture, le principe est le suivant : chaque samedi, je vous parlerai d'un livre dont j'aimerai bien qu'il rejoigne un jour ma PAL.

Pourquoi un seul livre ? Pour éviter de faire une simple liste de souhait 
et parce que c'est plus sympa de vous expliquer pourquoi il me tente.

Aujourd'hui, je vous présente :

4ème de couverture : Ici, lorsque quelqu'un disparaît, on dit simplement qu'il s'est évaporé, personne ne le recherche, ni la police parce qu'il n'y a pas de crime, ni la famille parce qu'elle est déshonorée. Partir sans donner d'explication, c'est précisément ce que Kaze a fait cette nuit-là. Comment peut-on s'évaporer si facilement ? Et pour quelles raisons ? C'est ce qu'aimerait comprendre Richard B. en accompagnant Yukiko au Japon pour retrouver son père, Kaze. Pour cette femme qu'il aime encore, il mènera l'enquête dans un Japon parallèle, celui du quartier des travailleurs pauvres de San'ya à Tokyo et des camps de réfugiés autour de Sendai. Mais, au fait : pourquoi rechercher celui qui a voulu disparaître ? Les évaporés se lit à la fois comme un roman policier, une quête existentielle et un roman d'amour. D'une façon sensible et poétique, il nous parle du Japon contemporain, de Fukushima et des yakuzas, mais aussi du mystère que l'on est les uns pour les autres, du chagrin amoureux et de notre désir, parfois, de prendre la fuite.

Pourquoi ce livre : C'est Le carré jaune qui m'a soufflé l'idée de ce roman. D'abord, le titre, le mot "évaporés" sonnent comme un souffle. Ce livre soulève la question de la disparition.Et après tout, il est vrai qu'il y a des gens qui font le choix de disparaître, comme ça, du jour au lendemain, sans donner de raison. Et tout cela m'intrigue...

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