Lu du 23 au 31 octobre et du 6 au 12 novembre 2013.
New York 1896... Un meurtrier auprès duquel jack l'Éventreur fait piètre
figure sème aux quatre coins du Lower East Side les cadavres
d'adolescents atrocement mutilés sans provoquer la moindre réaction des
pouvoirs publics... Révolté par tant d'indifférence, Theodore Roosevelt,
alors préfet, fait appel à ses amis John Schuyler Moore, chroniqueur
criminel, et Laszlo Kreizler, aliéniste spécialiste des maladies
mentales -, pour élucider cette énigme terrifiante. Leurs procédés sont
révolutionnaires ! En étudiant les crimes, ils pensent pouvoir brosser
le portrait psychologique de l'assassin, l'identifier et l'arrêter. Ils
ont peu de temps : le meurtrier continue à frapper. Les obstacles se
multiplient mais rien ne pourra les arrêter...
Mon avis : Caleb Carr nous plonge dans le New York de la fin du XIXème siècle. Riche, bien trop à mon goût, en détails sur la construction de la future Big Apple, l'intrigue se noue peu à peu et emmène cette équipe d'enquêteurs un peu particulière dans un sacré voyage.
Les meurtres sont sordides et on devine au fur à mesure que l'univers de l'assassin l'est tout autant (et on découvre avec une certaine surprise que l'on était un peu loin du compte).
Les différents personnages sont particulièrement bien construits et attachants. Ils humanisent parfaitement ce plein essor de New York.
Mais trop c'est trop pour moi. Les pages sont denses, il y a peu de pauses et surtout beaucoup trop de détails certes complémentaires au récit mais qui m'ont fait perdre le fil à plusieurs reprises. Dommage car l'intrigue me plaisait beaucoup. Une lecture en demi-teinte donc pour moi. Je me suis quand même décidée à le lire jusqu'au bout.
[J'ai lu ce livre en deux fois car j'ai dû lire un livre et le chroniquer avant une certaine date.]
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