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vendredi 27 février 2015

La maison en chocolat de Claudio CERDAN

Sol y lune, 20/10/2012, 203 pages
Lu du 8 au 11 février 2015

Le jour de ses sept ans, Milagros, qui attend dans la rue son père parti chercher un hypothétique travail, suit une inconnue qui lui a promis un bonbon. Au cœur d’une Barcelone misérable, la petite disparaît dans l’indifférence. Orpheline de mère, elle est heureuse d’en avoir trouvé une, même si celle-ci l’enferme. Son compagnon d’infortune, Pepito – âgé de huit ans –, est, lui, terrifié : « C’est une sorcière qui mange les enfants, lui dit-il. » Mais Milagros ne connaît pas d’histoire sans fin heureuse.

Mon avis : Un simple j'aime sur la photo de la couverture de ce livre et, grâce à notre voyageuse de livre Sabine (du blog Le carré jaune), le voilà entre mes mains. Un format poche, quelques 200 pages, un titre attrayant, ... mais que se cache-t-il derrière cette fenêtre ?
Je termine ma lecture en cours et je l'attaque. Me voilà plongée au début du XXème siècle en plein cœur de Barcelone. Une ville que j'ai visité en 2010 et que j'affectionne mais que je ne retrouve pas dans ce récit... et pour cause, l'histoire est bien plus noire que les rues colorées de la ville espagnole.
Milagros est une petite fille très attachante, élevée par son seul père, rêve d'un monde meilleur où d'ailleurs on lui a toujours que sa mère s'y trouvait. Bercée aux contes de fées, la petite fille ne devine que très peu la misère dans laquelle son père et elle vivent. Elle se pose bien quelques questions mais son innocence la pousse à d'autres merveilles tel le papillon qui vient lui rendre visite.
Alors qu'ils sont expulsés de la petite chambre qu'ils louaient car son père vient de perdre son travail, c'est la rue qui les accueillent, les bousculent, vers un simple refuge ouvert que la nuit. Il se met très vite en quête d'un nouveau travail pour s'échapper de cette situation précaire tout en laissant la fillette la charge de prend soin de leur bagage.
Mais le mal rôde partout et pour un simple bonbon, Milagros va découvrir un tout autre monde.
Elle se retrouve très rapidement dans une maison tenue par une femme qu'il faudra désormais appelée "Maman" et avec un frère, Pépito, qui lui parle d'une sorcière.
La petite fille se ravie d'avoir retrouvé sa maman et une maison mais ce sont bien là que des contes de fées car les vrais desseins de cette "maman" sont ignobles et cruels. Mais il est impossible de ne pas s'attacher à cette jeune Milagros qui garde son innocence, ses rêves, ses contes de fées dans cet univers si noir.
Une simple maison, un simple bâtiment peut-il prendre l’appellation de "foyer" quand il s'agit d'avantage d'une prison.
Il serait difficile de vous en parler davantage pour ne pas vous dévoiler le reste du récit mais la plume de Claudio Cerdan prend votre petit cœur de lecteur et ne vous ménage pas une seconde. La traduction est parfaite et vous plonge un siècle en arrière pour vous livrer une bien triste, mais vraie, histoire.
On dit que le chocolat est bon pour la santé mais croyez celui-ci est mauvais pour le cœur tout en étant tout aussi addictif car une fois plongé dans ce livre, il est très difficile de le reposer.


Un pays de plus, l'Espagne, dans mon challenge



vendredi 8 août 2014

Et soudain tout change de Gilles LEGARDINIER

 
Fleuve noir, 10/10/2013, 384 pages
Lu du 06 au 07 août 2014
Pour sa dernière année de lycée, Camille a enfin la chance d'avoir ses meilleurs amis dans sa classe. Avec sa complice de toujours, Léa, avec Axel, Léo, Marie et leur joyeuse bande, la jeune fille découvre ce qui fait la vie.
À quelques mois du bac, tous se demandent encore quel chemin ils vont prendre. Ils ignorent qu'avant l'été, le destin va leur en faire vivre plus que dans toute une vie... Du meilleur au pire, avec l'énergie délirante et l'intensité de leur âge, entre espoirs démesurés, convictions et doutes, ils vont expérimenter, partager et se battre. Il faut souvent traverser le pire pour vivre le meilleur...

Mon avis : Après un bon polar, on peut avoir envie d'une lecture plus "légère". La couverture l'annonçait en tout cas... Bien mal m'en a pris. Gilles Legardinier n'est pas un tendre malgré son sourire avenant. 
Au lycée, ce qui compte plus, ce sont les potes. Et la bande de potes de Camille se retrouve, enfin, dans la même classe juste avant le passage symbolique du bac. Alors que l'innocence leur tient encore compagnie, les premières questions d'adulte viennent toquer plus ou moins brutalement à la porte de leur cerveau mais aussi de leur cœur.
On se prend très vite de sympathie pour cette bande où amitié et 1ers amours semblent faire bon ménage. 
Et soudain tout change...
Qui n'a jamais ressenti ce curieux, mais tout autant éphémère, phénomène qu'à un instant, tout bascule et plus rien n'est comme avant.
Replonger quelques instants dans les minutes de votre vie... A quel moment avez-vous pris conscience que vous aviez basculé dans l'univers des adultes ? A quelle fraction de seconde, avez-vous compris que le regard de l'autre veut dire beaucoup plus que ce que ses mots vous soufflent ? Quel(s) évènement(s) ont marqué votre vie à tout jamais ?
Il y a des dates, des heures et même des minutes et/ou des secondes qui restent gravés à jamais dans votre cœur et vos pensées...
Alors que le début accroche le lecteur dans les pérégrinations de ces jeunes partagés entre deux mondes (l'enfance et l'âge adulte), Gilles Legardinier compose une suite et une fin sur de nouvelles teintes plus profondes et plus vives. Les sentiments battent leur plein : étonnement, surprise, tristesse, désarroi, colère, injustice,... De quoi sortir de cette lecture quelque peu chamboulé...


samedi 31 août 2013

Une place à prendre de J.K. ROWLING

Grasset, 28/09/2012, 682 pages.
Lu du 1er au 8 août 2013.



Bienvenue à Pagford, petite bourgade anglaise paisible et charmante : ses maisons cossues, son ancienne abbaye, sa place de marché pittoresque… et son lourd fardeau de secrets. Car derrière cette façade idyllique, Pagford est en proie aux tourmentes les plus violentes, et les conflits font rage sur tous les fronts, à la faveur de la mort soudaine de son plus éminent notable.

Mon avis : Qui n'a jamais rêvé d'être une petite souris qui se glisse partout et qui découvre tout ? C'est ce que nous propose J.K. Rowling dans son 1er livre pour adultes, après la série, au succès mondial, des Harry Potter. Pagford semble être une petite bourgade tout ce qu'il y a de plus simple. Mais voilà que l'un des membres du conseil local décède d'une crise cardiaque du jour au lendemain. La place est donc à prendre, son siège au conseil, poste de pouvoir ? Alors que le drame touche à peine les habitants, tous leurs petits secrets ressortent et les amitiés, et autres relations, se lient et se délient toujours avec plus de croustillant à se mettre sous la dent du lecteur. 
Au fil des premiers chapitres, les personnages se dévoilent, se caractérisent et c'est où, je pense, que J.K. Rowling risque de perdre quelques lecteurs. Mais passé cette présentation riche en détails, traits de caractère et personnages hauts en couleur, l'histoire se met tranquillement en place et l'on est happé au cœur de cette bourgade so british ! Seul bémol : une cartographie des lieux et des personnages permettraient au lecteur de s'y retrouver un peu plus rapidement.
Les problèmes soulevés sont on ne peut plus classiques : relations parents-enfants, amitiés (entre adultes et entre adolescents), premiers émois, relations adultères, relations de pouvoir, cité, drogue et difficultés sociales,... Autant de thèmes qui pourrait placer ce livre a presque n'importe quelle époque.
Je me suis donc laissée embarquer par la plume de l'auteur pour laquelle j'ai retrouvé avec plaisir la richesse du vocabulaire et le sens du détail qui m'avait déjà frappé dans les Harry Potter.
La fin, et quelle fin, je ne l'ai pas vu venir une seconde, elle m'a choqué, interpellé et vraiment surprise. Il serait difficile de vous en dire plus sans dévoiler quelque chose alors motus et à vous de la découvrir...



Merci à Natiora qui m'a permit de découvrir ce livre qui me tentait depuis quelques temps
 et à Martine de me l'avoir gentiment prêté !!!
La chronique de Natiora, c'est par ici !!!

vendredi 30 août 2013

Quand souffle le vent du nord de Daniel GLATTAUER

Le livre de poche, 30/03/2011, 352 pages.
Lu du 24 au 30 août 2013.



Un homme et une femme. Ils ne se connaissent pas mais échangent des mails. Jusqu'à devenir accros. Jusqu'à ne plus pouvoir se passer l'un de l'autre, sans se rencontrer pour autant... Savoureuse et captivante, cette comédie de mœurs explore avec finesse et humour la naissance du sentiment amoureux.

Mon avis : La rencontre de deux êtres est multiforme, elle est peut être hasardeuse ou provoquée, réelle ou virtuelle, volontaire ou involontaire mais elle évolue d'une façon ou d'une autre et bouleverse toujours les protagonistes. C'est cette thématique qu'explore Daniel Glattauer en version 2.0 !!! Le choix de la correspondance virtuelle est intéressant mais, à mon goût, pas assez souligné et il peut arriver qu'on perde un peu le fil de ces échanges de mail. Je trouve que l'ajout des adresses mails aurait été pertinent et que la présentation caractéristique de ce type d'envoi a été trop simplifié.
Le titre de se livre aurait pu être : S'écrire, c'est tromper ? Voici la 2ème thématique soulevée dans ce livre. Il est célibataire, elle est mariée. Ils apprennent à se connaitre et les sentiments naissent mais demeurent-ils virtuels sur le simple prétexte qu'il n'y a pas de rencontre ? La vie de couple d'Emmi est un peu particulière mais l'autorise-t-elle cependant à faire évoluer ces échanges ? Pour ma part, et ce n'est que mon avis personnel, il y a déjà tromperie car il y accoutumance, manque et besoin. Si l'on est satisfait de son couple, on ne va pas voir ailleurs, même involontairement, c'est qu'il y a déjà un souci dans le couple.
J'ai déjà eu des échanges virtuels avec des inconnu(e)s (même jamais lorsque j'étais en couple). Il est vrai que l'écran et surtout le monde caché d'internet permet une certaine liberté/libération. On peut échanger sur des sujets sans rougir de son avis, débattre sur des points sur lesquels notre entourage n'a jamais osé nous interroger... Mais il faut bien remettre les choses à leur place et séparé le virtuel du réel.





Avec ce titre, je valide la catégorie "Phénomène météorologique" du


 Et l'Autriche pour le




mardi 21 mai 2013

7 ans après de Guillaume MUSSO

Pocket, 28/02/2013, 498 pages.
Lu du 16 au 21 mai 2013.
 
Après un divorce orageux, Nikki et Sebastian ont refait leur vie, très loin l’un de l’autre. Jusqu’au jour où leur fils Jeremy disparaît mystérieusement.
Fugue ? Kidnapping ?
Pour sauver ce qu’elle a de plus cher, Nikki n’a d’autre choix que de se tourner vers son ex-mari qu’elle n’a pas revu depuis sept ans.
Contraints d’unir leurs forces, ils s’engagent alors dans une course-poursuite, retrouvant une intimité qu’ils croyaient perdue à jamais…

Mon avis : Guillaume Musso s'essaye au polar et je dois bien avouer que c'est plutôt efficace. Pour sauver leurs jumeaux malencontreusement embarqués dans une histoire de cartel de drogue, les ex-parents doivent faire équipe pour le meilleur et le pire. L'idée de fond, que je ne vous dévoilerais pas pour ne pas gâcher votre plaisir, est plutôt sympa. En un peu de moins de 500 pages, G. Musso nous fait voyager de New York au Brésil en passant par Paris !!!


mardi 30 octobre 2012

Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire de Jonas JONASSON

Le livre de poche, 01/03/2012, 506 pages.
 

Alors que tous dans la maison de retraite s’apprêtent à célébrer dignement son centième anniversaire, Allan Karlsson, qui déteste ce genre de pince-fesses, décide de fuguer. Chaussé de ses plus belles charentaises, il saute par la fenêtre de sa chambre et prend ses jambes à son cou. Débutent alors une improbable cavale à travers la Suède et un voyage décoiffant au cœur de l’histoire du XXe siècle. Car méfiez-vous des apparences ! Derrière ce frêle vieillard en pantoufles se cache un artificier de génie qui a eu la bonne idée de naître au début d’un siècle sanguinaire. Grâce à son talent pour les explosifs, Allan Karlsson, individu lambda, apolitique et inculte, s’est ainsi retrouvé mêlé à presque cent ans d’événements majeurs aux côtés des grands de ce monde, de Franco à Staline en passant par Truman et Mao...

Mon avis : Rocambolesque est le 1er mot qui me vient à l'esprit en ayant fini ce road trip légèrement déjanté !!! Tellement farfelu et un peu tiré par les cheveux qu'on n'y croirait pas si on l'entendait cette histoire... et puis pourquoi pas après tout ??? Bref, ce bouquin m'a bien dérouté et changé les idées, ça faisait un ptit moment que je m'étais pas marrée toute seule !!!

vendredi 28 septembre 2012

L'écrivain de la famille de Grégoire Delacourt

Le livre de poche, 29/08/2012, 240 pages.

À sept ans, Édouard écrit son premier poème, quatre rimes pauvres qui vont le porter aux nues et faire de lui l’écrivain de la famillle. Mais le destin que les autres vous choisissent n’est jamais tout à fait le bon ... Avec grâce et délicatesse, Grégoire Delacourt nous conte une histoire simple, familiale, drôle et bouleversante.

Mon avis : Lu en deux jours, c'est vous dire si j'ai accroché à cette histoire de famille qui se démembre au gré de la vie et prise dans son tumulte... Deux parents, trois enfants qui grandissent, qui partent, reviennent pour repartir de plus belle; c'est un peu la vie de beaucoup de famille. 
Une sorte de journal intime où les mots sont lâchés avec une certaine violence, une sorte d'enragement de l'auteur/l'écrivain à ne pas réussir là où finalement c'est fait de main de maître.

lundi 23 avril 2012

La compagnie des menteurs de Karen MAITLAND

Pocket, 01/09/2011, 665 pages.
Lu du 18 au 23 avril 2012

1348. La peste s’abat sur l’Angleterre. Rites païens, sacrifices rituels et religieux : tous les moyens sont bons pour tenter de conjurer le sort. Dans le pays en proie à la panique et à l’anarchie, un petit groupe de neuf personnes réunies par le plus grand des hasard essaie de gagner le Nord, afin d’échapper à la contagion. Bientôt, l’un d’eux est retrouvé pendu…
Alors que la mort rôde, les survivants vont devoir résoudre l’énigme de ce décès avant qu’il ne soit trop tard…

Mon avis : "Meilleur thriller" pas forcément mais "historique" tout à fait. Et il est vrai que ce bon pavé de 600 pages, vous ne le lâcherez pas si facilement. On est donc davantage dans un récit de voyage historique de cette drôle de compagnie regroupant des menteurs... que dans une enquête policière. Néanmoins, on se laisse agréablement prendre dans ce récit à la manière d'un voyageur glissé sous le chariot curieux de connaître la fin de cet épique voyage !!!

samedi 24 mars 2012

Le prédicateur de Camilla LACKBERG

Actes sud, 02/03/2009, 375 pages.
Lu du 15 au 24 mars 2012
 
Un matin d’été, un jeune garçon joue dans les rochers à Fjällbacka, la petite ville touristique de la côte ouest dont il était question dans La Princesse des glaces. Dans une crevasse, il tombe sur le cadavre d’une femme. La police établit rapidement qu’il s’agit d’un meurtre mais l’affaire se complique avec la découverte, plus profond au même endroit, de deux squelettes de femmes…
L’inspecteur Patrik Hedström est chargé de l’enquête en cette période estivale où l’incident a tendance à faire fuir les touristes et qui, canicule oblige, rend difficiles les dernières semaines de grossesse d’Erica Falck, sa compagne.

Mon avis : Un peu longuet et pas vraiment palpitant... Ne vaut pas les Millénium.

mardi 14 février 2012

Un certain sourire de Françoise SAGAN

Julliard, 03/04/2008, 162 pages.
Lu du 13 au 14 février 2012
 
Dominique, jeune étudiante, s'ennuie avec son petit ami Bertrand. Ce dernier lui présente son oncle Luc, marié à Françoise. La jeune fille se sent immédiatement attirée par cet homme, bien qu’elle éprouve aussi de l'amitié pour sa femme.

Mon avis : Erreur de choix de lecture après le magistral Le Chuchoteur car forcément cette petite histoire sentimentale me paraît bien plat après ce livre. Je n'avais jamais lu un ouvrage de cet auteur, c'est chose faite mais avec un peu de déception.

lundi 13 février 2012

Le chuchoteur de Donato CARRISI

Calmann-lévy, 05/05/2010, 440 pages.
Lu du 8 au 13 février 2012
 
Cinq petites filles ont disparu.
Cinq petites fosses ont été creusées dans la clairière.
Au fond de chacune, un petit bras, le gauche.
Depuis qu’ils enquêtent sur les rapts des fillettes, le criminologue Goran Gavila et son équipe d’agents spéciaux ont l’impression d’être manipulés. Chaque découverte macabre, chaque indice les mènent à des assassins différents. La découverte d’un sixième bras, dans la clairière, appartenant à une victime inconnue, les convainc d’appeler en renfort Mila Vasquez, experte dans les affaires d’enlèvement. Dans le huis clos d’un appartement spartiate converti en QG, Gavila et ses agents vont échafauder une théorie à laquelle nul ne veut croire : tous les meurtres sont liés, le vrai coupable est ailleurs. Quand on tue des enfants, Dieu se tait, et le diable murmure…
Un époustouflant thriller littéraire, inspiré de faits réels.

Mon avis : Tellement époustouflant que je n'ai pas réussit à le lâcher une minute... Et pour autant je dirais d'un Thilliez que je l'ai dévoré, là je l'ai dégusté. On croirait lire un épisode d'Esprits criminels.

mercredi 1 février 2012

Sécurité absolue de Serge BRUSSOLO

Livre de poche, 06/12/2006, 255 pages.
Lu du 27 janvier au 1er février 2012
 
Des rumeurs alarmantes circulent sur l'Oasis, cette luxueuse résidence californienne érigée aux abords du désert Mohave. Sous prétexte d'assurer la sécurité des locataires, on y pratiquerait le voyeurisme au moyen de caméras et de micros dissimilés. On raconte que tous ceux qui habitent là seraient victimes consentantes de ce curieux rituel.
Est-ce une légende ? Est-ce possible de vivre dans un tel enfer sans devenir fou ?
Et si la réalité était pire encore ?
Si l'obsession de la sécurité absolue pouvait conduire au meurtre organisé ?
Quand la folie tire les ficelles du crime, tout est possible, même le pire... surtout le pire !
 

Mon avis : Serge Brussolo est un des maîtres du suspense que j'ai découvert récemment (par le biais de ma collègue). C'est dans les toutes dernières pages que le dénouement arrive. Je conseillerai de lire ses romans de façon assez espacé car la trame a tendance à se répéter et on perd en surprise.

mardi 17 janvier 2012

Le scandale Modigliani de Ken FOLLET

Le livre de poche, 18/05/2011, 352 pages.
Lu du 13 au 17 janvier 2012
 
Ils ont entendu parler d'un fabuleux Modigliani perdu et sont prêts à tout pour mettre la main dessus : une jeune étudiante en histoire de l'art dévorée d'ambition, un marchand de tableaux peu scrupuleux et un galeriste en pleine crise financière et conjugale...
sans compter quelques faussaires ingénieux et une actrice idéaliste venant allégrement pimenter une course poursuite échevelée. Qui sortira vainqueur de cette chasse au trésor menée tambour battant, de Paris à Rimini, en passant par les quartiers huppés de Londres ?

Mon avis : On passe un bon moment mais ne vaut pas un palpitant Dan Brown ! Je suis restée sur ma faim.